Les globicéphales

Fin septembre, ce ne sont pas moins de 60 sauveteurs qui tentèrent de sauver plus de 400 globicéphales qui s’étaient échoués sur la côte ouest de l’île de Tasmanie (Australie). La plupart sont morts mais une cinquantaine a pu regagner le large. L’homme n’est pas en cause dans cet échouage massif et il semblerait que les cétacés se soient faits piégés dans un banc de sable. Pour Kris Carlyon, un biologiste marin, « Il n’y a aucune indication que cet évènement soit causé par les humains. C’est un phénomène naturel et nous savons que des échouages ont eu lieu dans le passé grâce à des fossiles. » a-t-il indiqué au journal le Guardian.

Mais au fait qu’est-ce qu’un globicéphale ?

 

 

 

 

 

 

 

Il a de nombreux points communs avec le dauphin et appartient à la famille des delphinidés donc comme l’orque ou le dauphin.

On distingue deux espèces de globicéphales : le globicéphale du Pacifique et le globicéphale commun bien qu’ils se ressemblent beaucoup. Toutefois, la plupart des globicéphales communs ont plus de dents et des nageoires plus longues que les globicéphales du Pacifique. Ces carnivores vivent en groupe de 10 à 50 individus. Ils adorent jouer, chasser et migrer ensemble. L’espérance de vie est de 46 ans maximum pour le mâle et de 59 ans maximum pour la femelle.

Les timbres permettent de mieux connaitre cet animal que l’on confond avec le dauphin, l’orque ou encore le faux orque.

Le bloc émis par Monaco aide à bien faire la différence entre les différentes espèces.

On apprend beaucoup avec les timbres y compris les langues étrangères. Ainsi le nom anglais pour globicéphale est « pilot whale ».