Il était en effet fréquent, au XIXe et au XXe siècles, que les collectionneurs veuillent cacher les défauts des timbres qu’ils possédaient. Ils faisaient alors appel à des restaurateurs de timbres. Leur travail s’avère souvent d’une minutie admirable (dents recollées, déchirures réparées, amincis bouchés), mais il n’en entraîne pas moins une forte diminution de la valeur des timbres concernés.